Ce workshop interroge un des «17 sustainable development goals» des Nations Unis, le 14ème  : la vie aquatique.

Ce  travail porte sur un « produit » de la mer qui longtemps a fait la réputation des pêcheurs et des chefs Islandais avant d’être menacé de surpêche, le fléau des océans. Crustacé préféré des étals et des restaurants de Reykjavik, la langoustine islandaise est victime de surconsommation, de l’essor du tourisme, d’une pêche intensive, ciblée, autorisée avec la modernisation des navires, les moyens satellites et les techniques au filet. 

Aujourd’hui, elle a presque disparue des fonds qui bordent les côtes islandaises. Au point qu’il n’y en ait plus suffisamment pour les jours de fête. Alors, son prix flambe  car elle devient rare, sa taille et sa population diminuent tandis que les économies locales s’effondrent. S’ajoute une accumulation de déchets, de plastiques rejetés à la mer, de débris de cageots, créant une importante pollution le long des côtes.

Workshop de groupe réalisé en Islande.

Plastique, algues, carcasses de crevettes, perles, tissus, latex.